Un nouvel onglet relate l'histoire de la chapelle St Régis, telle qu'elle était colportée dans les années 1850/1870 et telle qu'elle a été rapportée par l'abbé Albin Mazon.
Aujourd'hui, cette chapelle Saint Régis se dégrade de plus en plus. En effet, depuis qu'Aurélia Bouvarel, maire de Dompnac de 2001 à 2008, et son conseil municipal (Georges Dugas et Gérard Fage en faisaient partie) ont entrepris la restauration de la chapelle peu après 2001, aucun travail d'entretien n'a été effectué depuis 2008.
Or, la particularité architecturale de cette chapelle nécessite qu'elle soit entretenue régulièrement :
- parce que la structure du toit est en terre (sans charpente)
- parce que le toit est en lauzes et chacun sait qu'il faut vérifier régulièrement que les lauzes sont toujours en place
- parce que la forme même de cette chapelle fait qu'elle prend l'humidité par capillarité. Or, les dernières observations faites cette année lors du dernier concert qui y a eu lieu ont montré que les murs étaient devenus humides presque jusqu'au plafond.
- D'autre part, les lauzes décoratives qui avaient été mise en place au moment de la restauration, sont presque toutes cassées, sous l'action des vents violents, sans doute.
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| Juillet 2014 |
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| Juillet 2005 |
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aux environ de 1960, il n'y avait quasiment aucun arbre
Merci à Nicole Jallat-Cerulei du Clos du Pioule Dompnac |
Nous espérons vivement que la nouvelle municipalité mettra tout en oeuvre pour que ce monument communal perdure et ne tombe pas en ruine, à l'instar d'un certain nombre de propriétés ardéchoises de Dompnac.
1 commentaire:
Bonjour,
Juste en passant sur votre blog ...
La capillarité provoque des remontées d'humidité jusqu'à environ 1,3m au-dessus du sol. Les traces d'humidité au-dessus de cette altitude ont une autre cause (infiltrations, défaut de ventilation, air chaud humide sur murs froids ...)
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